... enfin, tentative de retour à la vie, entre la chaleur et la gestion du projet Biberon & Couches, j'ai l'impression d'avoir l'énergie d'une larme amorphe (de Tsathoggua, ça va de soit)
Malgré tout je peint, j'ai été repris d'un fièvre 15mm du coup j'ai produit quelques bataillions austro-hongrois de la guerre de 1859 contre la France et l'Italie.
Des Hongrois au 1er plan et des Autrichiens en arrière plan
Le but est toujours de les jouer à Principles of War (PoW) même si il y a une certaine réticence pour ce jeu dans la région. La raison essentielle pour laquelle les gens ici n'ont pas accroché est mon avis dû à la période. Ils ont testé NPoW (la version napoléonienne), or PoW est à l'origine une règle écrite pour le XIXe siècle de Waterloo à Mons.
Alors, PoW, comment ça marche ?!
les unités n'ont qu'une seule caractéristique (allant en moyenne de 10 à 18) représentant leur combattivité (puissance de feu, valeur de corps à corps, moral est point de vie)
Un des intérêts majeur de la règle est à mon avis pondération de la puissance de feu en fonction de la distance (il en existe trois significative) et/ou du type d'arme.
Par exemple:
l'arme rayée à rechargement par la culasse (BLR) les facteur de feu sont courte: 3, moyenne: 2, longue: 1 (ou 0 pour les BLC)
l'arme rayée à rechargement par la gueule (MLR) les facteur de feu sont courte: 2, moyenne: 1, longue: 0,5
l'arme lisse (SB) les facteur de feu sont courte: 2, moyenne: 1, longue: impossible
Pour calculer la puissance de eu on multiplie la valeur de combattivité par le facteur de feu.
C'est là que (à mon avis) le jeu n'est fait que pour le XIXe:
Durant la guerre de Crimée les russes sont équipés de SB les alliées de MLR
Durant la guerre des sept semaines les prussiens ont des BLC et les autrichiens des MLR
Durant la guerre de 1870, les prussiens on toujours des BLC et les français des BLR
Or lorsqu'on joue au autre période (Napo, Dentelles, Renaissance) l'équipement est le même partout et souvent il n'y a qu'une seule porté.
Bref on enlève une partie essentielle du jeu.
Pour le reste, j'aime bien aussi le système de PIP à la DBM mais la aussi pondéré par le niveau de compétence du général. Et aussi que via la valeur de combattivité plus une unité est fatigué moins est elle est efficace et plus est est proche de on seuil de rupture.
Un autre aspect intéressant est le déploiement par base de mouvement avec possibilité d'avoir des leurres. On ne dévoilent ses troupes qu'a une certaine portée, où si l'adversaire réussit un test de spoting.
Seul gros défaut, je pense, c'est l'application des différents facteurs qui se combine très mal avec une partie qui peut se prolongé tard dans la nuit.
Bref la reste un très bon jeu si on ne le sort pas de sa période, comme beaucoup de règle je pense.
Le but est toujours de les jouer à Principles of War (PoW) même si il y a une certaine réticence pour ce jeu dans la région. La raison essentielle pour laquelle les gens ici n'ont pas accroché est mon avis dû à la période. Ils ont testé NPoW (la version napoléonienne), or PoW est à l'origine une règle écrite pour le XIXe siècle de Waterloo à Mons.
Alors, PoW, comment ça marche ?!
les unités n'ont qu'une seule caractéristique (allant en moyenne de 10 à 18) représentant leur combattivité (puissance de feu, valeur de corps à corps, moral est point de vie)
Un des intérêts majeur de la règle est à mon avis pondération de la puissance de feu en fonction de la distance (il en existe trois significative) et/ou du type d'arme.
Par exemple:
l'arme rayée à rechargement par la culasse (BLR) les facteur de feu sont courte: 3, moyenne: 2, longue: 1 (ou 0 pour les BLC)
l'arme rayée à rechargement par la gueule (MLR) les facteur de feu sont courte: 2, moyenne: 1, longue: 0,5
l'arme lisse (SB) les facteur de feu sont courte: 2, moyenne: 1, longue: impossible
Pour calculer la puissance de eu on multiplie la valeur de combattivité par le facteur de feu.
C'est là que (à mon avis) le jeu n'est fait que pour le XIXe:
Durant la guerre de Crimée les russes sont équipés de SB les alliées de MLR
Durant la guerre des sept semaines les prussiens ont des BLC et les autrichiens des MLR
Durant la guerre de 1870, les prussiens on toujours des BLC et les français des BLR
Or lorsqu'on joue au autre période (Napo, Dentelles, Renaissance) l'équipement est le même partout et souvent il n'y a qu'une seule porté.
Bref on enlève une partie essentielle du jeu.
Pour le reste, j'aime bien aussi le système de PIP à la DBM mais la aussi pondéré par le niveau de compétence du général. Et aussi que via la valeur de combattivité plus une unité est fatigué moins est elle est efficace et plus est est proche de on seuil de rupture.
Un autre aspect intéressant est le déploiement par base de mouvement avec possibilité d'avoir des leurres. On ne dévoilent ses troupes qu'a une certaine portée, où si l'adversaire réussit un test de spoting.
Seul gros défaut, je pense, c'est l'application des différents facteurs qui se combine très mal avec une partie qui peut se prolongé tard dans la nuit.
Bref la reste un très bon jeu si on ne le sort pas de sa période, comme beaucoup de règle je pense.
Jolis ces autrichiens. Les figurines sont trés belles, on dirait presque du 25mm.C'est dire si c'est beau :mrgreen:
RépondreSupprimerLes projets "Couches et Biberons"....quel cauchemar....j'ai arrêté après le deuxième. Courage! Plus que 17 ans à tenir!! ;o)
C'est sûr. Quand feront-ils des bébés auto-nettoyants et auto-suffisants ?
RépondreSupprimer@Siaba: c'est aussi notre deuxième et c'est aussi la fin de la production ... d'autant plus que nous venons de passer deux très courte nuit.
RépondreSupprimerDu coup je decerne officiellment à ma fille Elora le titre de fléau des marius !!
@Nicofig: et qui save peindre dès la naissance, enfin au moins ébarber et sous-coucher ;-)