lundi 25 mars 2013

Atelier reloaded

La grève du pinceau est en train de pendre fin. 

Après plus de 3 mois de néant j'ai décidé de me reprendre enfin en main. Non pas que la flemme roliste ait diminuée mais simplement je vais essayer d'équilibrer la cadence de mes parties à partir de juillet pour tenter de rendre à la figurine 50% de mon temps ludique.

Pour cela, acte un: finir tout ce qui est en cours sur l'atelier. Et y'a du taf ... hétéroclite ...
Du coup l’objectif des prochaines semaines:

  • 2 plaquettes de légionnaires Bas Empire
  • 2 cavaliers pour LotoW avec leurs démontes
  • l'addon de flotte Skaven pour Man O'War
  • les russes Dystopian Wars
  • l'unité de coureurs des bois français pour les guerres du Canada
Une fois cette étape passée, je vais enfin attaquer ce que j'espère être mon gros projet 2013: la table steampunk, avec en parallèle un peu de peinture 15mm pour HC (juste pour faire plaisir à Siaba). 

Par contre avec ma non activité récente me force à ne pas concourir la Lead Painter League cette année, snif  :-(



Small English Version
Before starting my steampunk city project, I'll try to "clean" my workbench. Many differents subjects are in stand by (western, man o'war, FIW , and more ...)

mercredi 20 mars 2013

Hail Caesar, un pas de plus

Vendredi, excellente partie de Hail Caesar avec maître Sylvain.

Surtout parce que par trouver le temps de préparer un scénario, nous avons procédé à une mise en place DBM-like. Après un placement logique du décors, nous avons déployé nos corps d'armée en alternance, chacun essayant de dévoiler ses intentions et son axe d'attaque le plus tard possible.

Position de départ

 Dès le premier tour, on réalise à quel point l’échelle ce jeu n'est pas la même qu'a DBM, surtout quand mon corps d'infanterie d'attaque parcours la moitié du chemin que le sépare de l'ennemi au 1er tour. A ce stade on ne voit pas bien ce que va donner la partie, à part une immense boucherie et je me dis que jouer sans scénario est peut-être une connerie. Les tours suivant démentiront.

Je ne vais pas me lancer dans un compte rendu fastidieux (rappel pour les illettrés fastidieux signifie "qui est responsable de ..." merci reine Genièvre). Je vais simplement évoquer les éléments clés qui font que ce jeu est plein de surprise.

le blunder

Donc pour commencer le démarrage frénétique de mon infanterie sera bien calmé les tours suivant. En effet, les deux tours suivants je fait 7 ou 8 en commandement, donc un seul mouvement. Les 2 tours suivant, je rate mes jets de commandement (malgré la relance car c'est le corps du CinC) et donc je gèle toute l'armée.

De son côté Sylvain avec son petit corps sur l'aile droite fait l'unique blunder de la partie, qui fait tourner ses troupes sur sa gauche. Un moindre mal, mais la ligne est brisée et son flanc est exposé. Je ne pourrais pas exploiter cette situation du fait que j'appuie sur ma propre aile droite et que j’enchaîne les  échecs de commandement. A noté que la conséquence directe à ça sera que mon second corps de cavalerie légère ne jouera pas de la partie.

L'infanterie Romaine fuse à travers la pampa

Au centre, ma cavalerie lourdes (deux unités) se désolidarise l'une de l'autre. La première charge seule (aïe !!) la tête de colonne de l'aile qui a subit le blunder. L'autre reculera trois tour d'affilé sous la pluie de flèche (et les 6 qui vont avec) des archers du centre. (pour rappel, un 6 naturel au tir impose un break test à la cible => je tire trois fois retraite). Le corps ainsi disloqué ne peut plus être rattrapé, car le général doit commander séparément les deux groupes de cavalerie lourde et deux groupes distinct de cavalerie légère. Ce qui devait être ma force de frappe est tactiquement annihilée. Même la charge de cataphractes se soldera par un échec, non seulement je n'écrase pas l'infanterie adverse, mais je subi autant de perte que ma stamina => l’unité passe shaken et donc n'est plus combative.

La légion en action


Un très gros loupé dans l'interprétation de la règle nous empêchera de finir la partie. En effet nous ne comptons dans le démos que les unités détruites, or il fallait aussi prendre en compte les unités shaken. Et la ça change tout, après trois vrais heures de jeu, seulement une ou deux unité sont détruites, alors qu'avec les shaken, un corps entier à sauter et le second est pas loin de de la démo.

L’énorme différence par rapport à DBM, c'est l'attrition qui joue un rôle majeur dans le calcul de la démo. Fini les tirs d'archers sans effet... toute perte est bonne à prendre. Une unité de taille normale peut supporter 6 pas de pertes et une small seulement 4. A noter également que comme les unités de cavalerie légères et archers à cheval sont toutes notés small, les LH n'ont plus cette impunité qu'ils avaient à DBM. En revanche ils tapent un peu plus fort.

Dislocation des lignes de batailles

En conclusion: un déploiement linéaire et un vitesse de déplacement assez importante sur le papier semble conduire au classique "patate au centre" de warhammer mais il n'en ai rien. HC est un jeu plus tactique que stratégique en fait. La ligne s'est rapidement brisée, le jeu des soutient permet de jouer en plusieurs couches. La cavalerie légère n'a plus se côté grands contournements  mais sert plutôt à apporter rapidement le soutient à où il le faut. Bref ce fut un test un peu plus technique que les fois précédente, avec la fin une vrai goût de reviens-y. Rendez vous est donc pris pour rejouer en avril. D'ici la il va y avoir un phase de réflexion d’amélioration de l’organisation des corps. Attention, je ne parle pas de calcul de seuil de démo au pouillème comme à DBM, non juste une organisation intelligente des troupes.

la photo finish



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Antoher test au HC, more technical this time. Great moment, great rule.

vendredi 15 mars 2013

Retour de FIJ


Voilà, la 27e édition du Festival International des Jeux de Cannes (17e pour moi) est passé.

Une excellente année pour le Festival (174 000 visiteurs) et aussi pour le Graal (plus de 1000 personnes ont joué à un jeux sur nos espaces rôle/figurines/plateaux/GN.)

Les quelques stress et coups de paniques de cette année ont bien vite étaient masqués par des rencontres inoubliables: Mayhar Shakeri auteur de l'excellant Naufragés du Triangles, les deux Eillèa auteurs de RIP, et aussi Mohand le graveur des figurines d'Eden ....

bref, sur un petit nuage pdt quelques jours, à jouer, déconner avec les potes, faire des duels de Nerf (les flingues à fléchette en mousse pas nos autoroutes à impulsions électrique).

Le FIJ c'est aussi revoir les potes de la Barrière de Clichy, mais aussi le sieur Greg Privat ou Camille et Phil des Chimériades.

Voilà je crois que c'est clair 3 jours de bonheurs et un dur retour à la réalité (surtout côté taf).

Bon, et plus sérieusement côté figurine après quasiment une année de perdition rôlistique, la fièvre créatrice est revenue au FIJ (sans que je puisse vraiment expliquer comment). Peut-être une discution  avec le Jedi En Mousse, je sais plus.

J'annonce donc officiellement le retour de mon projet de table Steampunk (Necromunda-like par son look ponts & passerelles). Je vais essayer de vraiment me concentrer la dessus. Et pour le coup je renonce cette année à la LPL, pas assez d'avance en fait.

voilou ! pour finir en beauté quelques photos du FIJ quand même :-)













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Back from one of the biggest all-kind-of-games show in France.